Il y eut Belef, et au Belef…

Il y eut Belef, et au Belef…
01/08/2014 borisio

Belef s’est avéré meilleur que ce à quoi nous nous attendions. Au moins pour ce qui concerne la scène.L’absence presque totale de grands noms de comédiens et de metteurs en scène a été compensée par une rencontre avec des forces jeunes et une diversité de genres scéniques. Dans la représentation « KNKNPNKN », en fait « Kikiriki (cacahuète) », sous la main ferme de Žanko Tomić et avec l’aide du spirituel « Lexique de la mythologie YU », le genre cabaret littéraire, soi-disant léger, recherché en France, débute dans une sorte de nostalgie ironique et se termine en une satire amère sur le thème de l’avenir de la Serbie dans la communauté européenne.
Quel souvenir de l’avenir!…

Jovan Ćirilov,  BLIC